Quel est le challenge du retour après un an de mission ?
Le défi du retour est pour les volontaires d’être fidèle, là où ils sont désormais, à ce qu’ils ont vécu dans les Points-Cœur.
Il faut pour cela, qu’ils apprennent à vivre dans le lieu où ils vivent, l’essentiel de ce qu’ils ont vécu durant leur mission, à savoir une expérience vivante et réel du Christ. Cela passe par au moins deux choses :
- Prendre toujours plus conscience de l’essentiel qui leur a été donné de vivre par le Seigneur durant la mission.
- Désirer continuer de Le suivre avec cette même passion.
Ces deux éléments sont indispensables pour que les volontaires puissent suivre le chemin qu’ils sont appelés à prendre au retour, chemin sur lequel d’autre part, il est difficile d'avancer seul. C’est à ce niveau que Points-Cœur fait différentes propositions.
Quelques propositions...
Le Week-end Retour
des clés pour bien vivre le retour
La Maison Adrienne
se retrouver dans Paris
Les week-ends d'anciens
une compagnie pour continuer
La Frat' Max
continuer en famille
Témoigner
partager la joie de la mission
Le Point-Coeur de Villejuif
travailler, étudier et la mission
Le Week-end Retour
des clés pour bien vivre le retour
La Maison Adrienne
se retrouver dans Paris
Les week-ends d'anciens
une compagnie pour continuer
La Frat' Max
continuer en famille
Témoigner
partager la joie de la mission
Le Point-coeur de Villejuif
travailler, étudier et la mission
Quel est le challenge du retour après un an de mission ?
Le défi du retour est pour les volontaires d’être fidèle, là où ils sont désormais, à ce qu’ils ont vécu dans les Points-Cœur.
Il faut pour cela, qu’ils apprennent à vivre dans le lieu où ils vivent, l’essentiel de ce qu’ils ont vécu durant leur mission, à savoir une expérience vivante et réel du Christ. C’est à ce niveau que Points-Cœur fait différentes propositions.
Je ne suis pas rentrée en deux heures...
"Deux heures, c'est le temps qu'il faut pour rentrer de Naples à Paris en avion. Lorsqu'Agathe m'avait proposé de marcher une semaine avec elle et de prendre l'avion à Rome, après avoir hésité un peu j'ai finalement accepté. Il était bon de prendre ce temps. Prendre du temps. Je ne suis pas rentrée de mission en deux heures, pas plus qu'en une semaine. Parce qu'en réalité je ne pouvais pas rentrer, ou du moins la mission ne pouvait pas s'arrêter, elle devait simplement prendre le temps de s'incarner et de prendre chair ailleurs. J'ai mis du temps à le comprendre vraiment ou plutôt à le vivre pleinement..."